Ce signe, placé au-dessus d'une consonne, la rend muette.
Ex 1: Dans le mot ឧទាហរណ៍ qui correspond à « Exemple » et se prononce Ou’tir’hâ, la dernière consonne ណ៍(Nâ)surmontée du៍Pä'dè'sète, ne se prononce pas.
Ce mot est construit de la façon suivante : (ឧ + ទ+ា + ហ + រ+ ណ+ ៌) = ឧទាហរណ៍.
Soit (ou'pégnetour + To+ srrä ir+ Hâ+ Rro+Nâ+ Pä'dè'sète), se prononce Ou’tir’hâ,puisque l’association (ហ + រ+ ណ+ ៍) forme le son « hâ ».
Ex 1: Dans le mot « ciment » ស៊ីម៉ងត៍ qui se prononce Si’mang,la dernière consonne ត៍(Tâ)surmontée du៍Pä'dè'sète, ne se prononce pas. Car cette consonne a été ajoutée pour suivre l'écriture française, dont le mot khmer est dérivé.
Ce mot est construit de la façon suivante : (ស +៊+ ី + ម+៉+ ង+ ត+ ៍) = ស៊ីម៉ងត៍.
Soit (Sâ+ Trrèye sap +srrä i+ Mo+ Thmège kandol + Ngo+Tâ+ Pä'dè'sète), se prononce Si’mang,puisque l’association ត+ ៌ne se prononce pas.
Ce mot est intéressant puis qu'il intègre trois signes diacritiques :៊Trrèye sap. ៉ Thmège kandol. Et៍Pä'dè'sète.